Suite du flash back d’Hashirama Senju sur son enfance.
Au bord de la rivière.
Hashirama répond à l’injonction de Madara et lui donne son prénom. Il est disposé à lui donner aussi son nom de famille, mais Madara n’en fait pas cas et tente un jet de pierre vers l’autre rive. Hashirama se dit qu’il doit être habitué à lancer de shuriken, vu la façon dont il s’y prend.
Madara échoue et s’énerve, prétextant qu’il est sensible et qu’il ne supporte pas que les gens se tiennent derrière lui. Il se calme devant l’air déprimé d’Hashirama et lui confie qu’il ne peut pas savoir si oui ou non il est un bonne personne.
Hashirama rétorque en riant qu’il peut en tout cas comprendre qu’au lancer de pierre lui est meilleur.
Un propos qui bien sûr a le don d'agir sur les nerfs de Madara...
Flottant à la surface de l’eau, un cadavre de shinobi descent le cours de la rivière.
Hashirama se précipite vers lui en marchant sur la surface de l’eau, ce qui fait que Madara réalise ce qu’il est: un shinobi.
Hashirama identifie le cadavre, c’est un leader du clan Hagoromo.
Il doit filer.
Madara lui lâche son prénom et lui conseille de ne pas donner son nom de famille à des inconnus. C’est une règle. Il a reconnu en Hashirama un shinobi.
Hashirama se pense qu’en dépit de leurs personnalités différentes ils sont proches tous les deux et qu’il croit savoir pourquoi Madara vient près de la rivière.
Cimetière du Clan Senju.
Des fosses alignées, on enterre quelqu'un.
Un shinobi qui semble être le chef du clan est accompagné d’Hashirama, Tobirama et d’un autre enfant, plus jeune, qui a des cheveux mi blancs, mi noirs. Cet enfant pleure. L’adulte dit qu’un shinobi ne pleure pas, qu’il naît pour se battre.
Que c’est déjà beau que son corps ait été retrouvé, que cette fois, l’ennemi n’est pas seulement le clan Hagoromo mais aussi le clan Uchiha.
C’est un enfant de sept ans, Kawarama, qui est enterré !
Hashirama est révolté, il demande jusqu’à quand cette guerre va durer. L’adulte lui répond « jusqu’à la disparition complète de l’ennemi. Le chemin vers un monde sans guerre est long »
Hashirama demande si c’est pour cela qu’il sacrifie des enfants.
L’adulte le gifle pour cette impertinence, lui interdit de considérer Kawarama comme un enfant, car c’était un digne shinobi, et tourne le dos.
On comprend qu’il est le père. Le jeune aux cheveux bicolores est le jeune frère.
Hashirama refuse l’idée que ses frères meurent, il met en doute celle que le clan Senju soit rempli d’amour, il se demande ce qu’est un digne shinobi.
Tout ça, pour lui, ce n’est que des adultes ligués pour élever les enfant à mourir.
Ils sont pareils que le clan Uchiha.
Le père se lance alors dans une explication sur l'honneur et le respect, mais Hashirama persiste dans sa révolte contre l'absurdité du système, un système qui empêche même de dire son nom...
Pour lui, ce monde shinobi est définitivement mauvais.
Le père s'apprête à le frapper encore, mais Tobirama s'interpose.
Les trois frères, une fois seuls, discutent.
Hashirama juge les adultes stupides de ne pas tenter de s’entendre, il envisage l’idée d’alliance pour résoudre le problème de cette guerre sans fin entre clan shinobi.
Scène de combat.
Itama, le frère d’Hashirama fait face à cinq shinobi du clan Uchiha.
Il est dit que pendant cette période de royaumes combattants, l’espérance de vie d’un shinobi ou d’un civil était de trente ans à peine.
Itama meurt.
Retour à la rivière.
Hashirama est triste. Madara arrive par derrière. Il veut discuter.
Hashirama avoue la mort de son frère, demande son nom de famille à Madara et aussi si ce dernier à des frères.
Madara lui répond en ramassant une pierre qu’il a quatre frères, ou plus exactement qu’il en avait quatre.
Il ajoute que la seule façon de ne pas mourir est de montrer à son ennemi ce qu’on pense de lui, sans rien cacher et devenir allié avec lui. Mais c’est impossible, car jamais on ne peut être sûr de ce qu’une personne ressent et pense.
Madara vient au bord de cette rivière dans l’espoir de trouver ce chemin.
Et il réussi son jet de pierre vers l’autre rive.
Ils sont deux à présent. Deux à pouvoir aller de l'autre côté.