Tout d'abord, laissez moi vous dire que vous m'honorez en prenant le temps de me lire.
PréfaceJ'ouvre ce topique pour parler d'un sujet qui revient souvent sur différents topic: la notion de mal et le fait d'être méchant. J'aimerai donc que l'on se penche sur ces notions dans l'univers de NARUTO.
1°) Définitions.La base d'un débat est la compréhension. Avant d'amener nos réfléxions, nous devons être sur de choisir les bons mots pour être compris.
C'est pourquoi nous allons commencer par
définir les termes importants pour pouvoir ensuite les utiliser de façon optimale.
Le Mal: Une notion plus qu'importante. Il existe, vous vous en doutez, différentes définitions du Mal qui est une notion des plus abstraites. Ainsi donc ici, sera indiqué des approches de ce mot en rien absolue. Vous pourrez, et ce serait d'ailleurs mieux, préciser chacun d'entre vous ce que vous entendez par cela.
Voici ce que dis l'Académie Française:
[spoil]MAL n. m. (pl. Maux). Xe siècle. Emploi substantivé de l'adjectif mal, male.
I. Au sing. Ce qui s'oppose au bien, ce qui est dommageable, nuisible, condamnable. 1. PHIL. Principe de limitation, d'altération, de corruption inhérent à la nature des êtres. Nier l'existence du mal. Mal métaphysique, imperfection qui tient à la nature finie de toute créature. Mal moral, qui se manifeste dans toute action contraire à la justice, à l'honnêteté, au respect de la personne humaine, lorsque cette action est commise intentionnellement, en connaissance de cause et en toute liberté. Mal physique, le fait d'être assujetti aux souffrances, aux faiblesses inhérentes à la nature corporelle. 2. Ce qui est contraire à ce que prescrit la loi divine, naturelle, morale. Rendre le bien pour le mal. Il est enclin au mal, porté à faire le mal. Pousser quelqu'un au mal. Se plaire au mal. RELIG. CHRÉTIENNE. Parfois avec une majuscule. L'esprit du Mal, Satan. Les puissances du mal, les puissances infernales, les forces démoniaques. L'empire du mal. Dieu vous garde, vous préserve du mal ! Délivre-nous du mal, dernière supplique du Notre Père. L'arbre de la connaissance du bien et du mal, voir Arbre. Par ext. Se dit en général de ce qui s'oppose aux préceptes de la morale commune et de la religion, aux usages, aux convenances. Je ne vois là aucun mal. Quel mal y a-t-il à cela ? Expr. Penser, songer à mal, avoir une intention mauvaise. Mettre une femme à mal (vieilli), la violenter. Il a été mis à mal, malmené, brutalisé. Fig. Ses détracteurs l'ont mis à mal. Titre célèbre : Les Fleurs du mal, de Charles Baudelaire (1857).
II. Trouble, tort, dommage. 1. Ce qui est source de souffrance, de malheur ; ce qui est mauvais, nuisible, préjudiciable à quelqu'un. Vos paroles ont causé un grand mal. Vous ai-je jamais fait aucun mal ? Cette solution serait un moindre mal. Mal nécessaire. Demi-mal, voir ce mot. Les maux de la vie. Il a souffert tous les maux du corps et de l'âme. Expr. Je ne lui veux ni bien ni mal, son sort m'est indifférent. Prendre son mal en patience, supporter avec courage une souffrance, une épreuve. Prendre le mal à la racine, s'attaquer à sa cause. Prov. De deux maux il faut choisir le moindre. Aux grands maux les grands remèdes. Loc. En mal. Prendre en mal, tourner en mal quelque chose, en donner une interprétation fausse et défavorable. Il a pris en mal nos conseils, nos remarques. Parler en mal de quelqu'un, de façon désobligeante, défavorable. Précédé de l'article partitif. Faire du mal à quelqu'un. Souhaiter, vouloir du mal à quelqu'un. Il nous a fait beaucoup de mal. Dire du mal de son prochain. Il pense du mal de cette personne, il a d'elle une opinion défavorable. Expr. fam. Il ne ferait pas de mal à une mouche, il est incapable de méchanceté. Par ext. Dégât, dommage causé à un bien. Les orages ont causé bien du mal dans les vergers. Expr. Il y a eu plus de peur que de mal, les dégâts, les dommages sont moins importants qu'on ne le redoutait. Il n'y a pas de mal, formule familière pour répondre à des paroles d'excuse. Titre célèbre : Le mal court, de Jacques Audiberti (1947). 2. Douleur physique. Avoir un fort mal de tête, de violents maux de tête. Ses maux empirent de jour en jour. Loc. Avoir mal, ressentir une douleur. Où avez-vous mal ? Avoir mal à la tête, à l'estomac. La jambe, la tête me fait mal. Il s'est fait mal en tombant. Expr. Être dur au mal, résistant à la douleur. Pop. Avoir mal aux cheveux, voir Cheveu. Se dit parfois pour Maladie. Ce mal s'en ira comme il est venu. Quelquefois, le remède est pire que le mal. Loc. Prendre mal, attraper la grippe, un rhume, etc. Accompagné d'un adjectif ou d'un complément, désigne, dans le langage courant, certaines affections. Mal blanc, panaris. Mal de cœur, nausée. Mal de mer, provoqué par les mouvements d'un navire, d'une embarcation. Mal des transports. Mal des montagnes, causé par la raréfaction de l'oxygène en altitude. Anciennt. Mal comitial, mal sacré, épilepsie. Haut mal, petit mal, voir Épilepsie. Mal des ardents, voir Ardent. Mal français, mal napolitain, syphilis. PATHOL. Mal de Pott, tuberculose vertébrale. Mal de Bright, néphrite. - PATHOL. ANIMALE. Mal de brout, voir Brout. 3. Souffrance affective ou morale, chagrin, tourment. Les maux de la solitude, de l'exil. Mal de langueur, mal d'amour. Mal de vivre, sensation ou sentiment douloureux devant la vie. Mal du pays, tristesse, nostalgie que ressent celui qui est éloigné de sa patrie. Mal du siècle, état de mélancolie et d'insatisfaction propre aux jeunes gens de l'époque romantique et, par ext., malaise commun à un grand nombre de personnes et qui semble propre à une époque. Loc. fam. Être en mal de, souffrir de l'absence de, du manque de. Être en mal d'affection. Un artiste en mal d'inspiration. Spécialt. Une femme en mal d'enfant, qui souffre de ne pas être mère. 4. Par affaibl. Peine, difficulté. J'ai eu le plus grand mal à vous trouver. Il a appris à lire sans aucun mal. Avoir du mal à faire quelque chose, n'y parvenir qu'à grand-peine ou, spécialt., accomplir une tâche à contrecœur. Se donner du mal. Son travail lui donne du mal ou, fam., un mal fou, un mal de chien.[/spoil]
Le Bien: Ne serait-il pas futile de parler de Mal sans définir le Bien ? Là encore, la définition n'a rien d'absolue, bien qu'elle provienne de l'Académie Française. La voici:
[spoil]BIEN (n final ne se lie pas au mot suivant) n. m. Xe siècle. Emploi substantivé de l'adverbe bien.
I. Ce qui est désirable, souhaitable, ce que l'on prend pour fin. 1. PHIL. Le Bien, ce qui est perfection en soi et bonheur pour celui qui le possède. Le Vrai, le Beau, le Bien. Le souverain Bien. Par-delà le Bien et le Mal. 2. Ce qui est conforme à la morale individuelle ou collective. Discerner le bien du mal. Faire le bien, pratiquer la charité. Cet homme fait le bien sans ostentation. Rendre le bien pour le mal. Il a entrepris de le ramener au bien. Un homme de bien, une femme de bien, des gens de bien, qui pratiquent la vertu en général. Il a agi en homme de bien. Expr. En tout bien et tout honneur ou, fam., en tout bien tout honneur, dans une intention honnête. 3. Ce qui contribue à la satisfaction, à l'intérêt, au bonheur. Il n'a agi que pour votre bien. Ce que j'en fais, ce que j'en dis, c'est pour votre bien. Un conseil qui lui a été donné pour son bien, dans son intérêt. Il ne gouverna que pour le bien de son peuple. Le bien public, le bien général, le bien commun, l'intérêt de tous. Servir le bien public. Le bien particulier doit passer après le bien général. Loc. Mener à bien une affaire, une entreprise, faire en sorte qu'elle ait une heureuse issue. Prendre quelque chose en bien, l'interpréter d'une manière favorable. 4. Ce qui est utile, avantageux ; ce qui améliore, ce qui soulage. C'est un grand bien que l'affaire ait été conclue. Un petit mal pour un grand bien. Faire du bien, faire beaucoup de bien, faire grand bien à quelqu'un, lui procurer un soulagement, un avantage. Ce traitement m'a fait beaucoup de bien. Cela fait plus de mal que de bien. Cela ne fait ni bien ni mal. Une bonne pluie ferait du bien, ferait grand bien aux cultures. Vouloir du bien à quelqu'un, désirer lui être utile ; avoir de bonnes intentions à son égard. Dire du bien de quelqu'un, parler en bien de quelqu'un, porter sur lui un jugement favorable. J'ai entendu dire beaucoup de bien de cette personne. On dit beaucoup de bien de son dernier livre. Par antiphrase. Grand bien lui fasse ! il a pris ce parti, advienne que pourra ! Iron. Un ami qui vous veut du bien, remplace la signature dans les lettres anonymes. Expr. Être du dernier bien avec quelqu'un, avoir des relations intimes avec lui. Prov. Le mieux est l'ennemi du bien, on compromet souvent un résultat en cherchant à l'améliorer.[/spoil]
Le méchant: Ce que l'on oublie souvent, c'est qu'à la base, ce terme est un adjectif. Mais rien n'empêche de l'utiliser comme nom commun, tant que l'on se comprend. Ainsi donc:
[spoil]MÉCHANT , -ANTE adj. XIIe siècle, mescheant, « malchanceux ». Participe présent de l'ancien verbe mescheoir, « arriver malheur ».
I. (Toujours placé avant le nom, lorsqu'il n'est pas en position d'attribut.) 1. Qui ne vaut rien en son genre, qui est de peu de valeur. Il n'a hérité que d'une méchante terre. N'avoir qu'une méchante monture, qu'un méchant chien de chasse. De méchants vers, des vers mal faits, insignifiants. Par ext. Un méchant écrivain. En ce sens, Méchant est d'un emploi plus soutenu que Mauvais, qui tend à le remplacer dans la langue courante. 2. Qui peut nuire, causer du désagrément ; fâcheux, déplaisant. C'est une méchante affaire qui lui causera bien des embarras. Susciter une méchante querelle. Il a reçu une méchante blessure. Être de méchante humeur, d'humeur irritable, chagrine. Ce n'est pas bien méchant (fam.), c'est sans gravité.
II. En parlant de personnes. 1. Qui a un penchant à faire du mal, qui est porté à nuire. Un homme méchant, un méchant homme. Il est plus bête que méchant. Il a trouvé plus méchant que lui. Dans certaines expressions, s'emploie en concurrence avec Mauvais. Être méchant comme la gale, comme une teigne (fam.). Par anal. Un chien méchant, agressif, qui cherche à mordre, à attaquer. Cette bête est méchante. Subst. Les bons et les méchants. Fuir les méchants. 2. Qui, dans diverses circonstances, fait ou cherche à faire du mal à quelqu'un. Cet enfant est méchant avec les animaux. Un animal blessé peut devenir méchant. Subst. Faire le méchant, se montrer menaçant ou opposer une violente résistance. Par affaibl. Vous avez été bien méchant avec lui, vous lui avez montré de la sévérité, de la dureté. Fig. et plaisamment, se dit d'une personne qui se rend coupable d'un oubli, d'une négligence ou d'une petite malice. Vous êtes bien méchant de venir me voir si rarement. Un méchant garnement, un méchant garçon, un enfant insupportable, turbulent. Titre célèbre : Est-il bon ? Est-il méchant ? de Denis Diderot (1781). 3. Par méton. Qui exprime la malveillance, manifeste le désir de faire du mal, de nuire. Un regard, un air méchant. Une méchante action. Il nous a joué un méchant tour. Des paroles méchantes. Loc. Une méchante langue, une personne médisante.[/spoil]
Le gentil: De même que pour le méchant; Enfin... vous m'avez compris ! J'ajoute que la dééfinition qui nous intéresse est très certainement la 3. Je laisse le reste pour une question de culture générale. Voici:
[spoil]GENTIL (l ne se fait pas entendre), -ILLE adj. XIe siècle, au sens de « noble, brave ». Emprunté du latin gentilis, « qui appartient à une famille », puis « de bonne famille, généreux, aimable ».
1. Anciennt. De bonne lignée, noble, généreux. Gentils seigneurs. 2. Qui a une certaine grâce, un agrément délicat. Une gentille figure, un gentil minois. Une gentille petite bête. « Alouette, gentille alouette... », premières paroles d'une vieille chanson française. C'est un gentil pays, une gentille petite ville. Une gentille robe. S'emploie souvent pour exprimer une réticence au sujet d'une chose plaisante mais sans vraie beauté, sans grande portée. Qu'avez-vous pensé de ce livre ? C'est gentil... Un gentil talent. Fig. et fam. Qui a une certaine importance. Cela fait une gentille somme. 3. Aimable, bienveillant, prévenant. C'est une personne très gentille. Il n'est guère gentil pour moi, avec moi. Cela n'est pas gentil. Il lui a écrit une lettre très gentille. Dire un mot gentil à quelqu'un. Un enfant gentil, qui se conduit bien, sage. Subst. Faire le gentil, affecter de l'empressement, faire montre d'une amabilité exagérée. Dans différentes formules de politesse, de remerciement, de prière ou d'injonction. C'est très gentil à vous d'être venu. Vous êtes trop gentil. Il a été assez gentil pour me raccompagner. Soyez gentil, dites-moi la vérité. Expr. fam. Pour signifier à une personne qu'elle importune, qu'elle se trompe, etc. Vous êtes bien gentil, mais je n'ai pas que cela à faire. Vous êtes bien gentille, mais cela ne tient pas debout. Tout cela est bien gentil, tout cela est futile, vain. Par antiphrase. Vous faites là un gentil personnage, un gentil métier, un vilain personnage, un vilain métier.[/spoil]
Une notion: Le terme de notion a pour moi une importance fondamentale. Je l'utilise d'ailleurs fréquemment. En voici la définition exacte et non modifiable:
[spoil]NOTION n. f. XVIe siècle. Emprunté du latin notio, « action d'apprendre à connaître ; notion, idée ».
1. Représentation que l'esprit se forme d'un objet de connaissance ; idée générale et abstraite, concept. La notion de liberté, de vérité, de justice. La notion de causalité, de contingence. La notion chrétienne de péché. 2. Connaissance immédiate, conscience que l'on a intuitivement de quelque chose. Ce malade a perdu la notion du temps. Avoir une notion juste, exacte des difficultés d'une entreprise. Cet enfant n'a pas la notion du danger, la notion du bien et du mal. 3. Connaissance élémentaire acquise en quelque domaine. Avoir quelques notions d'astronomie. C'est un sujet dont il n'a aucune notion, dont il n'a pas la moindre notion. Des notions familières à tous. Au pluriel, dans le titre d'un traité exposant les rudiments d'une science, d'une matière. Notions d'arithmétique. Premières notions de physique et de chimie.[/spoil]
Nous nous arrêterons là pour ce qui est des définitions. Il va de soit que je compléterai à la moindre demande.
Je tiens à mettre en évidence que ce sont là des termes bien absolu qui ont certainement besoin d'être nuancés. Mais cela ne peut-être fait que par des brillants cerveau comme les votres.2°) Problématique(s).Maintenant que nous avons défini certains éléments, nous atteignons maintenant le cœur de l'histoire: le sujet.
Comme je l'ai exposé précédemment, il s'agira de débattre au niveau de la notion de bien et de mal dans le manga NARUTO ainsi que celle de "méchants" et "gentils". C'est un point que l'on aborde dans beaucoup de topics mais sur des discussions entre seulement 2 ou 3 personnes à chaque fois. C'est pourtant un élément clé, principalement dans les shonen.
Qui est méchant et qui ne l'est pas ? Mais surtout: Pourquoi ?
Peut-on considéré tel ou tel personnages comme bon ? Comme gentils ?
Qu'est-ce qui l'a poussé à basculer vers méchant ?
Ce sont des questions parmi tant d'autres qui sont soumises à des réponses bien divergentes...
3°) Une réfléxion sur deux plans.Nous serons amené à réfléchir sur deux plans qu'il ne faut absolument pas confondre.
Tout d'abord, le premier plan: notre vision personnelle. C'est ce que nous pensons, nous. C'est le point de vue de chacun qui peut être partagé. Nos réfléxions et leurs aboutissements sur tel ou tel personnage.
Ensuite, le second plan: l'auteur. C'est beaucoup plus délicats. Il s'agit en faite de se mettre dans la peau de l'auteur, essayé de comprendre comment il a façonné ses personnages afin de savoir où ils se situent et pourquoi. Est-ce qu'il avait prévu depuis longtemps d'en faire quelqu'un penchant vers le Mal ? Pourquoi ? etc. Cela s'accorde souvent avec son scénario.
4°) Différents sujets d'études.Tout est clair; nous aurons différents sujets d'études. Je vais vous en citer quelques-un:
- Orochimaru - Hashirama Senju
- Kabuto - Naruto
- Sasuke - Itachi
- Madara - Kisame
- Nagato
J'aimerai cependant débuter avec un sujet en particuliers: Les Uchiha et les Senju.
Les Uchiha et les Senju.Le Rikoudou Sennin engendra deux fils. L'ainé obtient le pouvoir des yeux et un chakra puissant tandis que le cadet avait comme héritage un corps puissant et une volonté de fer. L'ainé pensait régner sur les hommes grace à la force tandis que son frère pensait utiliser l'amour pour unifier les hommes.
Un jour vint le moment où le Sennin se devait de choisir son successeur. L'ainé devait normalement hérité de se titre. Mais l'histoire voulu que le Sage choisi son Cadet pour lui succéder. Ainsi naquit la malédiction.
Les deux frères étaient voués à se haïr et à se combattre jusqu'à la fin des temps.
Les descendant de l'ainé furent longtemps après appelé les Uchiha tandis que les descendant du cadet était connu sous le nom des Senju.
Un bond dans le futur nous amène à l'époque de Hashirama Senju et Madara Uchiha. Ces deux hommes et leur clans étaient des mercenaires. Les clans les plus puissants du monde shinobi. De ce fait, leurs affrontements étaient perpétuels et inévitables. Pour continuer à pourvoir tenir tête au clan Senju, Madara et Izuna, son frère, tuèrent leurs plus proches amis. Leurs yeux s'éveillèrent au Kaléidoscope hypnotique du sharingan. Ensuite le héros Madara pris les yeux de son frère et fit donc évoluer les siens au stade de Mangekyou Sharingan Eternel (MSE).
Mais les combats incessant lassèrent les clans qui finirent par établir un traité de paix pour fonder le village de Konoha. Madara n'était pas d'accord mais du céder aux pressions claniques. Ainsi fût fondé le village caché de Konoha dans le pays du Feu.
Vint le jour où il fallut désigner le dirigeant du village, le 1er Hokage. Hashirama Senju fut élu. Et depuis que le chef du clan Senju fut désigné, aucun Uchiha n'a pu accéder à ce titre de dirigeant. D'ailleurs aucun Uchiha n'a pu s'immiscer directement dans le domaine politique du village.
Tobirama Senju confia aux Uchiha le domaine de la police et de la protection du village. Certains vous diront que c'était une marque de confiance, d'autres vous diront que c'était pour les écarter du pouvoirs...
Une nuit de pleine lune.
C'est au cour d'une nuit de pleine lune que le clan Uchiha fut entièrement décimé par Uchiha Itachi hormis Sasuke, son petit frère.
Pour comprendre les raisons d'un tel acte, il faut savoir que la situation était au préalable extrêmement tendue entre Uchiha et Senju. Les Uchiha avaient décidé d'effectuer un coup d'Etat. Le Sandaime Hokage avait tenté des négociations qui avaient échouées. Uchiha Itachi, agent triple, a alors reçu le dernier ordre de mission de sa vie. Et il décima son clan avec l'aide du mystérieux Tobi.
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J'ai fait le résumé de mémoire donc si il faut le compléter, dites le moi.
C'est donc sur ces deux lignées fort intéressantes que j'aimerai que l'on se penche.
Pour situer temporellement je parle de l'époque de Madara jusqu'à maintenant. Il faudra donc surement redivisé la période donnée. J'aimerai donc vos avis au sujet de comment l'on pourrai qualifier les actes de chacun (tort/raison) et s'inscrivent-ils dans une optique plutot "gentille" ou "méchante" (A nuancer) ?
En fait j'aimerai tout simplement que l'on retravaille le concept de méchant et d'action méchante sur ces deux lignées.